ECOFISH - Six ans d’innovations au service des pêcheurs

Amélioration de la surveillance

L’Union européenne a assuré le financement. La Commission de l’océan Indien (COI) a piloté la mise en œuvre. Plusieurs organisations régionales ont collaboré, dont le COMESA, l’EAC, l’IGAD, la SADC, la LVFO et la LTA. Pendant six ans, le programme a soutenu la pêche durable. Des outils adaptés aux changements climatiques ont été introduits. La coopération entre les nations s’est renforcée. Les communautés locales, notamment les pêcheurs artisanaux, ont reçu un appui concret. Ces mesures ont amélioré la surveillance et la collecte de données. Elles ont optimisé la gestion des ressources marines.
Lors de la cérémonie de clôture, Edgard Razafindravahy, Secrétaire général de la COI, a insisté sur la pérennité des acquis. Ce dernier a déclaré : « L’objectif consiste à garantir la continuité de l’héritage d’ECOFISH grâce à des systèmes, des outils, des partenariats et des infrastructures durables. » L’engagement des équipes et la contribution des partenaires ont également été salués.

Perspectives internationales

Madagascar a tiré de nombreux bénéfices. Le pays a renforcé ses compétences en gestion des pêches et intégré des technologies pour le suivi et la collecte de données. Les communautés côtières ont été accompagnées par des projets locaux. Grâce à ces actions, l’économie bleue a progressé et gagné en dynamisme. Le programme a ouvert de nouvelles perspectives à l’international. La coopération avec la COI et la SADC a consolidé les compétences nationales et favorisé la gestion durable des océans et des ressources halieutiques. La clôture du projet ne marque pas la fin des initiatives. Les acquis techniques et institutionnels offrent un socle solide pour poursuivre le développement durable de la pêche. Dans une région où ce secteur représente un moteur économique et social, ECOFISH laisse un héritage concret et prometteur pour les années à venir.